L'École, Un Vrai Bonheur [2]

Bonjour, cette histoire étant vraie, j’ai changé le nom des personnes. Aujourd’hui, j’ai 23 ans et cette histoire s’est déroulée il y a 5 ans, j’avais alors 18 ans.

Depuis la première fois, Karen me suçait régulièrement. Dès qu’elle sentait que je la regardais avec un regard envieux, elle m’amenait aux toilettes pour me pomper délicieusement! J’avais l’impression que pour elle c’était un devoir, cela faisait partie de son travail de me donner le plus de plaisir possible. Un Jour, alors que je n’avais pas le moral pendant une heure de trou, Karen m’invita dans les toilettes pour une petite pipe. Ce jour là, il faisait très chaud. Karen était habillé très courte avec un décolleté assez plongeant. Autant vous dire que je ne refusais pas cette gâterie. D’ailleurs, en me dirigeant vers les cabinets, je bandais déjà dur. Une fois sur place, je m’allongeais en attendant de sentir ses lèvres sur mon gland. Elle décida de se mettre nue comme elle le faisait des fois pour m’exciter encore plus. Mais cette fois, elle était étrange comme si elle se préparait à autre chose. Elle arriva devant moi, commença à me masturber, lécher mes couilles et englober mon gland. Je me préparais alors, comme d’habitude, à me libérer totalement dans sa bouche quand elle s’arrêta brutalement.
Je ne comprenais pas. Alors, je la vis se doigter un peu puis monter sur moi. Je lui demandais:
“-Que fais tu ?
-Je vais te faire jouir !
-C'est-à-dire ? (Je commençais à comprendre)
-T’as pas envie de me défoncer la chatte ?
-T’es sûr de ce que tu fais ? Tu sais, tu peux me finir à la bouche comme d’habitude.
-Tais-toi et donne tout !
Elle était donc sur moi, nous étions perpendiculaire l’un à l’autre. Elle prit ma queue dans sa main, me chauffa encore un peu puis glissa mon pénis dans son vagin. Quelle révélation ce fut pour moi ! Elle se déhanchait, se trémoussait au dessus de ma queue, ses cheveux volaient dans tout les sens.

Pour moi, le plaisir était total. Je pénétrais enfin cette femme qui me suçait régulièrement. Plus elle sautait plus mon chibre s’enfonçait en elle. J’étais maintenant totalement dans sa chatte, je la pilonnais ardemment dans l’espoir de me donner un maximum de plaisir. Mais mon plaisir fut encore plus intense lorsque je l’entendis prendre du plaisir ! Elle commençait à gémir, puis poussait des cris de plus en plus fort ! De temps à autre, elle lâchait des “c’est bon” des “Oh ou! Fait moi mal !” Même si il lui arrivait de gémir ou de placer des petit “C’est ça ! Oui” en me suçant, c’était la première fois qu’elle jouissait avec moi ! De sentir son odeur près de moi, de la pénétrer vigoureusement, je n’allais plus tenir très longtemps. Je commençais à mon tour à crier à gémir, j’allais tout lâcher ! Lorsque Karen me sentit au bout, Elle sortit alors ma queue pour se mettre en 69 et me vider les couilles. Je ne savais quoi faire mais l’excitation était telle que je décidais de lui bouffer la moule. Elle était trempée. J’avalais ce liquide avec un plaisir immense, j’en étais moi même surpris ! Karen, que je savais maintenant salope, continuait, elle, son travaille de sape, elle léchait mes couilles, englobait entièrement ma bite. La semence était là, je me contractais pour que le plaisir dure quelques secondes de plus, quelle me suce quelques secondes de plus, mais, indéniablement, je finis par tout cracher dans sa bouche comme on en avait pris l’habitude et, comme à chaque fois qu’elle me suçait, elle avala tout en poussant des petits gémissement de plaisir. Puis, elle se releva, s’essuya la chatta, se rhabilla, m’astiqua une dernière fois la bite pour récupérer ses dernières gouttes qu’elle avalait bien sûr. En partant, elle me dit: “Tu as aimé ?” Je répondis en disant que je n’avais jamais eu autant de plaisir et que même dans mes rêves les plus fous, je n’imaginais pas la baiser. Elle me déclara :
“Tu sais moi aussi j’ai jouis, c’était orgasmique, vivement la prochaine fois !”. De savoir qu’en accomplissant selon elle son travail, elle avait jouis, cela me remplissait de bonheur et me redonnais envie d’elle. Mais il fallait aller en cours ! Cette prochaine fois, je vous la raconterai plus tard !
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